Ce que tu désirais mon cœur oublie le
Assez de vaine insistance
Chante plutôt Dieu c’est la chose capitale
Ne va pas trouver beau le printemps
Ne prends pas ses prémices
Pour récoltes assurées
Fils de la femme
Tant que je vivrai
Je jure que jamais je ne me fierai à toi
Sois perspicace noble enfant
Puisque tu m’a ecrit
Je te dirai les mots que je sais
Ne fréquente pas qui vaut moins que toi
Tu en pâtirais
Et t’exposerais à la risée des vauriens
Ton secret garde toi de le divulguer
On te flouerait
En ce siècle tous les hommes sont faux.
Commentaires