Littérature japonaise

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Littérature japonaise

C’est seulement en 1978 que parut en français la traduction de la première partie du chef d’œuvre de la littérature japonaise : Le Dit du Genji, longue chronique romanesque écrite aux alentours de l’an 1000 par une dame de la cour, Murasaki Shikibu. Écrites à la même époque par une autre dame, Sei Shonajon, Les Notes de chevet conquirent les lecteurs français. Le traité et certains nô dé Zæeami (vers 1400), les romans réalistes et licencieux de Saikaku (1641-1693), les haïkus sublimes de Basho (1644-1694) et de son école poétique, le théâtre réaliste d Chikamatsu Monzaemon (1653-1724), les Contes de pluie et de lune (1776) d’Akinani (1734-1809), les romans naturalistes de Soseki (1867-1916), qui subit l’influence des romanciers russes et français, sont maintenant accessibles en «poche», de même que de nombreux auteurs contemporans : Tanizaki (1886-1965), Kawabata (1899-1972), prix Nobel 1968, Abe Kobo (1924-1993), Mishima (1925-1970), Oé (né en 1935),

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