
Naji al-Ali connu pour son patriotisme à travers ses œuvres
Découvrez 10 caricatures relatant le parcours des Palestiniens selon les œuvres sur la Palestine de Naji al-Ali
Remarque : Les descriptions des images se trouvent en haut des images
Lorsqu’ils furent expulsés par Israël en 1948, les Palestiniens gardèrent les clés de leurs maisons. Ici,
Hanthala rêve de sa patrie ; les clés, accrochées aux barbelés, signifient le déni par Israël du
Droit au retour des Palestiniens (janvier 1974)

Jésus est Palestinien, dit Naji al-Ali ; comme tout le peuple palestinien, il rêve lui aussi de retourner
sa maison à Bethléem (avril 1982)

Un jour, les barbelés qui séparent les Palestiniens de leur patrie seront transformés et
les souffrances du peuple palestinien prendront fin (mars 1981)

Les larmes d’une mère guérissent son enfant, mutilé lors d’un raid israélien (juillet 1981)

Bien que les barbelés représentent le cadeau dur pour une Palestinienne en larmes, elle s’accroche néanmoins à l’espoir (janvier 1987)

Les films ont une fin, mais la réalité de la souffrance palestinienne est toujours présente (juillet 1980)

Les visas accordés aux réfugiés palestiniens les conduisent finalement aux prisons en exil (juillet 1986)

Pas d’entrée dans la salle des négociations : les colonies israéliennes illégales sur les terres palestiniennes occupées scellent le sort des pourparlers de paix (décembre 1978)

(De droite à gauche) « Conférence internationale de la paix en cours » : pendant ce temps, l’appropriation illégale des terres et la construction de colonies se poursuivent sans contrôle, créant des « faits sur le terrain » israéliens (mars 1987)

La direction palestinienne proclame la victoire à travers les médias ; pendant ce temps, dans un présage prémonitoire du mur de séparation, Israël continue de s’approprier des terres palestiniennes et de construire des colonies illégales (Janvier 1984)

Source(s):
A Child in Palestine
Naji al-Ali
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